11 décembre 2007
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23:49
Bien présomptueux; comme titre... mais je n'en vois pas d'autre.
Anne et Jean-Lou achetaient ce soir le vin pour demain, et me l'amenaient, pour qu'il chambre d"ici-là.
Vers 8h, Anne me téléphone pour me dire que Jean-Lou est déchaîné, qu'il a faim, et qu'il est allé chercher qques bricoles à mettre dans mon micro-ondes.
Peu de temps après, ils arrivent. Avec, en plus du vin pour demain, et du PQ que j'ai demandé, deux poulets rotis, une baguette, et du fromage de chèvre. Et puis, le Barbaresco 2003 sera parfiat avec cela.
Jean-Lou coupe le poulet pour demain - à la hussarde - , me reproche mon wok en téflon, qu'il considère griffé - il l'est à peine ! et "comme c'est toxique" (Jean-Lou est toxicologue).
Nous improvisons une table, c'est vrai que le Barbaresco - l'un de mes vins préférés - est délicieux.
Le poulet fristouille, Marie-Cécile m'appelle pour me remercier du jour passé ici. C'est vrai que c'était un plaisir de les recevoir, avec Brigitte, sa soeur, et Olivier, son fils. Que j'aime beaucoup.
L'ange de Brigitte^pend déjà dans l'embrasure de la porte.
Lorsque je raccroche, Jean-Lou m'annonce que Christophe a demandé si cela me dérangerait qu'il vienne, et qu'il a répondu, que non, certainement pas. Ce qui est vrai.
J"ai encore eu Blanka - qui ne viendra pas samedi - et Ula.
J'ai dit que Jean-Lou me rajeunit de 20 ans. Les années étudiantes ou juste après, quand nous avions déjà les moyens de recevoir à la maison, avec une bouteille de vin. Ce n'était ni du Brabaresco, ni le délicieux presque Chateauneuf - mon vin préféré, là - apporté par Christophe. Mais il n'y avait pas d'heure. "jamais un copain de trop dans l'équipe à Jojo".
Et là, j'aime ma maison. Ma maison bordel. Ma maison ouverte. Ma maison habitée, comme dit Anne.
Et demain, ce sera le bordel, je le sais. Et samedi aussi. Mais les amis se sentent bien ici. Je le sais.
Et si je suis fatiguée, ils se débrouillent. C'est un peu la leur.
"la maison du Bon Dieu", dit Jean-Lou.
Et ça, c'est ma joie.
PS:
Anne et Jean-Lou achetaient ce soir le vin pour demain, et me l'amenaient, pour qu'il chambre d"ici-là.
Vers 8h, Anne me téléphone pour me dire que Jean-Lou est déchaîné, qu'il a faim, et qu'il est allé chercher qques bricoles à mettre dans mon micro-ondes.
Peu de temps après, ils arrivent. Avec, en plus du vin pour demain, et du PQ que j'ai demandé, deux poulets rotis, une baguette, et du fromage de chèvre. Et puis, le Barbaresco 2003 sera parfiat avec cela.
Jean-Lou coupe le poulet pour demain - à la hussarde - , me reproche mon wok en téflon, qu'il considère griffé - il l'est à peine ! et "comme c'est toxique" (Jean-Lou est toxicologue).
Nous improvisons une table, c'est vrai que le Barbaresco - l'un de mes vins préférés - est délicieux.
Le poulet fristouille, Marie-Cécile m'appelle pour me remercier du jour passé ici. C'est vrai que c'était un plaisir de les recevoir, avec Brigitte, sa soeur, et Olivier, son fils. Que j'aime beaucoup.
L'ange de Brigitte^pend déjà dans l'embrasure de la porte.
Lorsque je raccroche, Jean-Lou m'annonce que Christophe a demandé si cela me dérangerait qu'il vienne, et qu'il a répondu, que non, certainement pas. Ce qui est vrai.
J"ai encore eu Blanka - qui ne viendra pas samedi - et Ula.
J'ai dit que Jean-Lou me rajeunit de 20 ans. Les années étudiantes ou juste après, quand nous avions déjà les moyens de recevoir à la maison, avec une bouteille de vin. Ce n'était ni du Brabaresco, ni le délicieux presque Chateauneuf - mon vin préféré, là - apporté par Christophe. Mais il n'y avait pas d'heure. "jamais un copain de trop dans l'équipe à Jojo".
Et là, j'aime ma maison. Ma maison bordel. Ma maison ouverte. Ma maison habitée, comme dit Anne.
Et demain, ce sera le bordel, je le sais. Et samedi aussi. Mais les amis se sentent bien ici. Je le sais.
Et si je suis fatiguée, ils se débrouillent. C'est un peu la leur.
"la maison du Bon Dieu", dit Jean-Lou.
Et ça, c'est ma joie.
PS:
être la maison du bon Dieu
- Maison hospitalière ouverte à tout le monde.